Mur décoratif de couleur beige foncé avec deux grandes peintures abstraites en haut représentant des spirales noires et blanches signées 'COHA'. Ces œuvres sont encadrées de bois clair et posées sur une étagère noire. En dessous, une série de petites illustrations encadrées de bois clair, comprenant des dessins variés, est alignée sur une deuxième étagère noire. Au premier plan, deux fauteuils en osier et tissu, l'un bordeaux et l'autre gris, ajoutent une touche vintage à cet espace chaleureux et artistique.

La double face
de COHA

Les cercles de COHA : la double face

Les cercles COHA constituent une sorte de double face. Ils sont ce qu’ils se donnent à voir, la face homogène, statique, parfaitement fermée sur soi. Mais ils sont tout autant ce qui n’apparaît pas, le vide et un abîme cachant en soi un chemin invisible.

Le cercle symbolise aussi l’obscurité et la lumière, la diversité et l’unité, l’infini et la plénitude, l’ordre et le chaos, l’éternité et l’éphémère… Des dualités qui se ressentent dans l’interaction de ses aspects opposés, mais complémentaires. Le cercle est à la fois un cadre et une ouverture, un espace limité qui suggère l’illimité. Cette tension entre ce qu’il contient et ce qu’il dépasse évoque une dynamique profonde : celle du mouvement intérieur et extérieur, de l’expansion et du repli.

Dans les traditions symboliques, le cercle est souvent associé au cosmos, à la perfection divine ou à l’équilibre universel. Il incarne le retour perpétuel, le cycle des saisons, le recommencement après chaque fin. Pourtant, son apparente simplicité masque une complexité infinie. Chaque point de sa circonférence peut être perçu comme un début ou une fin. Chaque passage sur son tracé peut évoquer un voyage infini, une quête de sens.

Nous vous proposons de découvrir ces dualités dans les 17 toiles que vous pouvez retrouver ici :

Les cercles COHA se donnent également à voir chez Presta Art Gallery, et à la Maison Albar – Hôtel Imperator de Nîmes.

L’édition 2024 du salon d’art contemporain Art Montpellier exposait deux toiles, La sphère du mouvement et La lumière de l’obscur.